Bou Na’as, le Djeha de Mascara
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Bou Na’as, le Djeha de Mascara
Bou Na’as, le Djeha de Mascara
Djeha est un personnage qu’on retrouve partout, à travers le monde, même si c’est sous des noms différents.
Il faut croire que Mascara avait son Djeha, appelé Bou Na’as !
Voici une se ses histoires :
" Djoh’a et l’homme assassiné.
On raconte que Djoh'a sortit du vestibule de sa maison à l'approche du jour et trébucha contre un cadavre qui était là.
Il le jeta dans un puits.
Son père le sut, retira le mort et l'enterra. Puis il étrangla un mouton et le jeta dans le puits. La famille du mort se mit à parcourir les rues de Koufah en faisant des recherches.
Djoh'a les vit et leur dit: Le cadavre est dans le puits de notre maison.
On y alla et on l'y fit descendre pour en sortir le corps.
Quand il fut arrivé en bas, il se mit à crier : Est-ce que le mort avait dés cornes?
On rit et on s'en alla ( 1 ). "
Note :
(1) Dans une autre ( version ), Djoh'a est remplacé par Bou Na'as, et la scène se passe près de la Mosquée de Si Bou Djelal à Mascara. (F. Pharaon, « Spahis, turcos et goumiers », Paris, 1864, in-18, jés. p.182).
Tirée de :
« Revue des traditions populaires »
1900/01 (A15,T15,N1), page 41
Djeha est un personnage qu’on retrouve partout, à travers le monde, même si c’est sous des noms différents.
Il faut croire que Mascara avait son Djeha, appelé Bou Na’as !
Voici une se ses histoires :
" Djoh’a et l’homme assassiné.
On raconte que Djoh'a sortit du vestibule de sa maison à l'approche du jour et trébucha contre un cadavre qui était là.
Il le jeta dans un puits.
Son père le sut, retira le mort et l'enterra. Puis il étrangla un mouton et le jeta dans le puits. La famille du mort se mit à parcourir les rues de Koufah en faisant des recherches.
Djoh'a les vit et leur dit: Le cadavre est dans le puits de notre maison.
On y alla et on l'y fit descendre pour en sortir le corps.
Quand il fut arrivé en bas, il se mit à crier : Est-ce que le mort avait dés cornes?
On rit et on s'en alla ( 1 ). "
Note :
(1) Dans une autre ( version ), Djoh'a est remplacé par Bou Na'as, et la scène se passe près de la Mosquée de Si Bou Djelal à Mascara. (F. Pharaon, « Spahis, turcos et goumiers », Paris, 1864, in-18, jés. p.182).
Tirée de :
« Revue des traditions populaires »
1900/01 (A15,T15,N1), page 41
Mokhtar- Admin
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