Bouhanifia, "Aquae sirenses"
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Bouhanifia, "Aquae sirenses"
Bouhanifia, "Aquae sirenses"
Tous les documents historiques prouvent que le site de Bouhanifia a été une ville romaine
appelée "Aquae Sirenses", dont la traduction italienne est "Aque sirensi", dont
la traduction en français est : " Les Eaux des Sirènes " !
Tous les documents historiques prouvent que le site de Bouhanifia a été une ville romaine
appelée "Aquae Sirenses", dont la traduction italienne est "Aque sirensi", dont
la traduction en français est : " Les Eaux des Sirènes " !
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Re: Bouhanifia, "Aquae sirenses"
Bouhanifia, Aquae de Sira
" IX. — AQVAE DE SIRA.
La notice place cet Évêché dans la Maurétanie césarienne ; elle le nomme Aqui sira, tandis que les actes de la conférence de 411 l'appellent Adque sira.
Personne, cependant, n'en indique l'emplacement.
L'anonyme de Ravenne seul nous apprend que la rivière de Sira se trouvait entre la Mina et la Tasaccora.
Dès lors, il convenait de rechercher l'emplacement des Aquae de Sira sur l'oued el Hammam qui répond évidemment à la rivière de Sira.
Or, sur cette rivière, il y a précisément, des eaux thermales, dites aujourd'hui Hammam hel Hanefia.
C'est à deux kilomètres de l'établissement thermal, sur la rive droite de la rivière, que l'on a retrouvé la ville épiscopale antique.
C'est là qu'a été découverte l'inscription de l'an 243 qui mentionne les Aquae sirenses et que nous avons signalée à l'article d'Ambia.
Plusieurs bornes milliaires des environs portent aussi le nom de la cité. Nous n'en citerons qu'une seule :
Source :
"Géographie de l'Afrique chrétienne" Par Mgr Toulotte, 1894, Page 40
" IX. — AQVAE DE SIRA.
La notice place cet Évêché dans la Maurétanie césarienne ; elle le nomme Aqui sira, tandis que les actes de la conférence de 411 l'appellent Adque sira.
Personne, cependant, n'en indique l'emplacement.
L'anonyme de Ravenne seul nous apprend que la rivière de Sira se trouvait entre la Mina et la Tasaccora.
Dès lors, il convenait de rechercher l'emplacement des Aquae de Sira sur l'oued el Hammam qui répond évidemment à la rivière de Sira.
Or, sur cette rivière, il y a précisément, des eaux thermales, dites aujourd'hui Hammam hel Hanefia.
C'est à deux kilomètres de l'établissement thermal, sur la rive droite de la rivière, que l'on a retrouvé la ville épiscopale antique.
C'est là qu'a été découverte l'inscription de l'an 243 qui mentionne les Aquae sirenses et que nous avons signalée à l'article d'Ambia.
Plusieurs bornes milliaires des environs portent aussi le nom de la cité. Nous n'en citerons qu'une seule :
D. N
IMP. CAES. M. IVL
PHILIPPO. IN
VICTO. PIO. FEL
AVG. PONT. MAX
TRIB. POTEST.
P. P. AB. AQ. MP
V
"IMP. CAES. M. IVL
PHILIPPO. IN
VICTO. PIO. FEL
AVG. PONT. MAX
TRIB. POTEST.
P. P. AB. AQ. MP
V
Source :
"Géographie de l'Afrique chrétienne" Par Mgr Toulotte, 1894, Page 40
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